Le Préfet du département de Mbour, Mor Talla Tine, a réuni ce jeudi après-midi, les différentes parties concernées par le litige foncier portant sur 18 hectares à Nianing. Une réunion à laquelle, Maguette Sène, le maire de Malicounda, la commune en question, était présent.
Devant l'assistance composée d'autorités locales, dont le représentant des eaux et forêts, et autres notables des quartiers environnants, il montrera patte blanche arguant une totale transparence dans ce dossier. À l'en croire, il revient au directeur des eaux et forêts de décanter la situation en mettant à leur disposition le site devant recevoir le projet en question. Chose pas encore effective, faute de réponse officiellement formulée par la direction des eaux et forêts qui doit accepter ou rejeter les 7 hectares mis à leur disposition par la commune. Un silence déploré par le directeur du Coud devant l'assistance.
Car, une fois le site (18 hectares) mis à leur disposition de manière effective, une mise en demeure sera servie par la mairie au promoteur pour le démarrage effectif du projet expliquera l'édile de Malicounda. À défaut les terres seront désaffectées pour être proposées à d'autres partenaires, ajouterat-il à la fin de la réunion tout en regrettant ce statu quo qui menace sérieusement le projet.
Enfin, il sortira des documents appuyés d'explications exhaustives et soutiendra : "on a absolument rien à cacher... On ira répondra partout." Au même moment, les représentants du collectif local "Joog Jotna" continuaient d'exiger que le maire de la localité fournisse davantage de documents sur les procès-verbaux de délibération et autres conventions liant la mairie de Malicounda au partenaire privé. Lequel partenaire s'est présenté sous le nom de Sohibou Diagana en tant que repreneur du projet initialement engagé par un Belge...
Devant l'assistance composée d'autorités locales, dont le représentant des eaux et forêts, et autres notables des quartiers environnants, il montrera patte blanche arguant une totale transparence dans ce dossier. À l'en croire, il revient au directeur des eaux et forêts de décanter la situation en mettant à leur disposition le site devant recevoir le projet en question. Chose pas encore effective, faute de réponse officiellement formulée par la direction des eaux et forêts qui doit accepter ou rejeter les 7 hectares mis à leur disposition par la commune. Un silence déploré par le directeur du Coud devant l'assistance.
Car, une fois le site (18 hectares) mis à leur disposition de manière effective, une mise en demeure sera servie par la mairie au promoteur pour le démarrage effectif du projet expliquera l'édile de Malicounda. À défaut les terres seront désaffectées pour être proposées à d'autres partenaires, ajouterat-il à la fin de la réunion tout en regrettant ce statu quo qui menace sérieusement le projet.
Enfin, il sortira des documents appuyés d'explications exhaustives et soutiendra : "on a absolument rien à cacher... On ira répondra partout." Au même moment, les représentants du collectif local "Joog Jotna" continuaient d'exiger que le maire de la localité fournisse davantage de documents sur les procès-verbaux de délibération et autres conventions liant la mairie de Malicounda au partenaire privé. Lequel partenaire s'est présenté sous le nom de Sohibou Diagana en tant que repreneur du projet initialement engagé par un Belge...
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